Résumé (suite)
L’étude souligne l’importance de l’amélioration de la productivité de l’élevage et l’interdépendance des composantes économique, environnementale et sociale du développement durable. Elle montre que, dans les pays les moins avancés et la plupart des pays à revenu intermédiaire inférieur, la forte pression des maladies animales s’oppose à l’amélioration de la productivité de l’élevage, que les agriculteurs-éleveurs pauvres n’ont pas suffisamment bénéficié des politiques de développement et qu’ils ont besoin de soutiens pour pouvoir valoriser les progrès technologiques et relever les défis du développement durable et de la réduction de la pauvreté.